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Christopher Nolan – Critique The Night Knight : Une Œuvre Parfaite

Christopher Nolan – Critique The Night Knight : Une Œuvre Parfaite
Christopher Nolan – Critique The Night Knight : Une Œuvre Parfaite

La rétrospective sur Christopher Nolan go on avant Tenet, avec la suite de Batman Begins, The Dark Knight ! Un véritable tournant dans la carrière du cinéaste mais aussi dans fifty’industrie du blockbuster et une véritable claque cinématographique qui met tout le monde d’accord. 





Un an après 50’arrivée de l’homme chauve-souris à Gotham, le chevalier noir, la police force et le procureur Harvey Dent luttent efficacement contre le criminal offense organisé. Alors que 50’espoir de ne addition avoir besoin de Batman naît, le Joker fait son apparition est répand la panique dans la ville. Son just : faire basculer Gotham dans le chaos. Il est véritablement peu aisé de critiquer ce film automobile pour chaque point qui le compose, mind voulons crier à la perfection. D’autant summation dur que The Dark Knight est peut-être bien le moins Nolanien (Insomnia ne comptant pas) dans la forme linéaire de son récit et pourtant, son cinema le addition intense et maitrisé. 









Alors que Batman Begins installait de nouvelle base of operations solide pour le héros, cette suite le sublime complètement en amenant 50’histoire super-héroïque à une maturité à en faire pâlir les summation grands. Le cinéaste se débarrasse complètement des quelques invraisemblances de son premier opus pour élever encore d’un cran le réalisme, obsession du cinéaste, dans un genre où usuellement des justiciers en collant sauvent le monde. 





Sauf qu’ici il n’est pas query de sauver le monde. Il est enquiry des limites de la justice, des moyens éthique ou not de la faire régner, du terrorisme et de la peur furieuse qu’elle provoque et qui nourrit les citoyens… Cela à travers une galerie de personnage qui sont constamment à deux doigts de franchir la ligne rouge.





Un intensité folle





Une histoire qui embrasse purement les problématiques du mail xi septembre que Nolan maîtrise avec une maestria folle. Tout est en crescendo, les actes du Joker bousculent 50’ordre établi. Il met tout autant la morale des personnages fictionnels que la nôtre à rude épreuve. Le récit sait instauré sans temps mort de fifty’urgence à chaque péripétie (Le climax avec les deux bateaux), confronter les personnages à leur plus gros dilemme (Batman doit-il sauver Rachel ou Harvey ?) et créer des répercussions dramatiques à chacun des choix faits (La création de Double Face).





Une intensité dramaturgique jamais égalée jusqu’à présent dans le cinéma de divertissement et qui donne tout ses lettres de noblesse au domaine du blockbuster dont la noirceur inspirera bon nombre d’héritiers. En effet, lorsqu’on est le premier celluloid de super-héros à dépasser le milliard au box part, des convoitises se créent.









Ce succès est dû à un scénario irréprochable, master forcefulness du cinéaste, où chaque élément est habilement installé, où chaque nœud dramatique est addition puissant que le précédent, où chaque révélation en fait un thriller grisant. Le récit ose faire mourir des héros du bien (coucou le motif Nolanien de la femme perdue) ou faire sombrer des combattants de la lumière dans la plus obscure des folies. Tel que la gestion de Double Face dont la bonté est totalement ébranlée par les événements dans un 4ème acte tendu.





Le cinema se termine sur une telle ambivalence qu’on ne peut se dire que nous sommes devant une Happy cease. Un secousse du spectateur d’autant summation poignante que le réalisme ancre totalement le récit dans notre réel. En faisant fi du costume et du maquillage, tout ce qui s’y déroule pourrait arriver, dû à fifty’hybridation que fait le cinéaste du celluloid de super-héros avec le genre du polar urbain (l’inspiration de Michael Mann est palpable).





Une révolution super-héroïque





La réalisation de 50’activeness second’améliore grandement comparé à Begins, Nolan sachant mieux tenir sa caméra et filmer les scènes d’un peu summation loin, rendant le tout mieux visible. Mais il ne tombe aucunement dans la surenchère spectaculaire auto il axe sa priorité sur la tension et la force dramatique. Toutes les cascades étant des effets pratiques, les scènes en question n’ont summation besoin d’être de l’indigestion pyrotechnique. Leur tangibilité suffit à baffer le spectateur. A 50’icon de fifty’explosion de l’hôpital, réellement tournée telle quelle.









Le casting incarne totalement leur personnage, bring up spéciale évidente et un peu redite au défunt Heath Ledger dont la stabilité de 50’esprit aura succombé à la teneur de boy rôle du Joker, totalement effrayant. Bien que Nolan se débarrasse des fantasmagories du comics, les fans de la première heure peuvent tout de même se repaître des inspirations habilement piocher dans les versions papier et adaptées pour en faire des péripéties puissantes. 





En somme, The Dark Knight ne peut qu’époustoufler par la maturité et la noirceur de boy récit. Le scénario transpire une intensité inégalée qui scotche les mangeurs de popcorn que brain sommes au fin fond de leur siège. Christopher Nolan transcende 50’histoire de super-héros pour fournir un vrai questionnement sur 50’éthique de l’ordre établi et les répercussions du terrorisme au sein de notre société. Une véritable claque qui restera gravée dans fifty’histoire du cinéma de divertissement.





The Dark Knight est actuellement disponible en bluray et en streaming sur Netflix.








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